LUCIETTA :

Tu m'as surnommée Lucietta
parce que j'aime les espagnoles,
et toi qui es espagnol,
tu aimes les yeux bridés.
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LA LIBERTÉ EST MA PATRIE ET MA VIE :

Mes cheveux en liberté
sont au vent.
Tout mon corps,
tout mon être est en liberté.
J’aime la liberté,
j'aime la liberté,
la liberté est ma patrie
et ma vie.
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PERSONNE :

Personne, personne
ne pourra m'aimer comme toi,
Comme toi qui m'as tant aimée !
Je t'en prie, reviens !
Quand tu n'es pas là,
je n'ai plus la force de vivre !
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CE MONDE QUI EST LES HOMMES :

Le soir, je me promène
dans ces rues silencieuses,
pour oublier les tristes moments
de la journée.
Seule la nuit et le silence sont mes amis.
Je suis solitaire.
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MARSEILLE :

Marseille si ton accent chante et m'enchante,
ta Cannebière est malheureusement en bière,
tes murs reflètent le deuil de ton âme,
ils sont en berne, noirâtres et tristes,
le soleil n’arrive pas à effacer ta désolation.
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CRÉATION DE VIE :

Je peins sans être peintre,
j'écris sans être écrivain,
je pense sans être penseur,
je parle sans être conteur,
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ANACRÉON :

Poète tu fus,
maintenant tu exaltes les palais,
aiguises les sens.
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CHER P... :

Mon cœur s’est mis à battre sur le pas de ta porte, allez savoir pourquoi ?
Dès que je t’ai vu, j’ai senti une chaleur, une lumière rayonnante, de l’Amour émaner de toi. Avec force, douceur j’étais attirée vers toi j’avais envie de me fondre en toi. Tu aurais pu avoir 200 ans,
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LA GUERRE :

La guerre,
commence par la convoitise
s'enrichit de la jalousie
se nourrit de la différence
de la peur de l'autre
s'abreuve de la soif de pouvoir.
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ENRACINEMENT :

Tout comme l'arbre est enraciné dans la terre notre mère,
notre mère nourricière,
l'enfant est enraciné grâce à sa mère.
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ÊTRE SOI :

Être Homme en étant humain.
Être fort sans rougir de ses faiblesses,
mais en avoir la richesse.
Se fortifier sans être forteresse.
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CLAUDE :

Grâce à toi, j'ai apprécié l'homme.
Un homme de plaisir,
douceur, amour, tendresse.
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MON ENFANT :

Soleil de ma vie.
Combien je t'ai désiré !
Combien je t'ai attendu !
Combien je t'ai espéré !
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FIANCAILLES :

Promesse de mariage,
réflexion pour une vie à deux,
basée sur l'amour.
Amour de l'un pour l'autre,
dans le respect de l'autre.
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LE RESPECT :

Commence par un bonjour,
suivi d'un sourire,
sans rien attendre en retour.
C'est un don d'amour,
à l'inconnu, au passant.
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Ô MA MÈRE :

Ô ma mère,
toujours présente,
les bras ouverts pour m'accueillir.
Il y a tant d'amour en toi,
tant de douceur.
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LA FRANCE EST EN DEUIL :

La France est en deuil.
Les visages sont tristes,
la bouche tombante,
les vêtements noirs.
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LES MOTS :

Les mots pour les mots.
Mots insipides vides de sens,
engendrent au fil du temps des maux.
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EXPRESSION LIBRE :

Bébé , tu gazouilles,
tu cries,
tu pleures.
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VISION :

Voir les couleurs et ses nuances.
Voir grâce à lumière.
Voir la netteté des lignes.
Voir au-delà de la vue.
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MON CORPS :

Comme je t'ai haïe!
Comme je t'ai martyrisé!
Comme je t'ai rejeté en tant que femme!
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LE TRAIN :

Le train est adapté à l'inadaptabilité.
le voyage en train est réservé,
aux personnes bien sur tout rapport.
L'obésité étant l'apanage des riches,
l'espace existe seulement en première classe.
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LA FLAMME :

La flamme lèche,
caresse la bûche très lentement.
Elle la pénètre jusqu'au coeur.
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LA JALOUSIE :

La jalousie fait beaucoup de dégâts.
à quoi la reconnaît-on ?
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